PDF :
- https://dspace.mit.edu/bitstream/handle/1721.1/6353/AIM-628.pdf
- https://www-formal.stanford.edu/jmc/recursive.pdf
The HS class is reserved for use by a system called Hesiod that stores and distributes simple textual data using the Domain Name System. It is typically used in local environments as a stand-in for LDAP. The CH class is reserved for something called Chaosnet.
When a user logs in, he is assigned a processor, and he has exclusive use of it for the duration of the session. When he logs out, the processor is returned to the pool, for the next person to use. This way, there is no competition from other users for memory;
The processors would share access to a file system and to devices like printers via a high-speed local network “with completely distributed control.”4 That network was Chaosnet.
A Chaosnet address is only 16 bits, half the size of an IPv4 address, which makes sense given that Chaosnet was only ever meant to work on a local network. Chaosnet also doesn’t use port numbers; instead, a process that wants to connect to another process on a different machine
first makes a connection request that specifies a target “contact name.”
Inside links :
Sémantique human-machine interaction ( #chat_conversation )
See also :
Pub. le 14/06/ #2019 par #@Félix_Tréguer
Que l'on retrouve ici https://www.monde-diplomatique.fr/2020/01/TREGUER/61229 ( #2020 ) commentant la liberté dans le comas ... actuellement épuisé.
https://bib.vincent-bonnefille.fr/book/311
Datant de #2013 ... édité par...
@La_Lenteur ( radicalités anti.tech garanties )
-> https://bib.vincent-bonnefille.fr/publisher/stored/22
--> https://librairie-quilombo.org/La-liberte-dans-le-coma
.... que j'ai découvert via le tres bon podcast militant #@Floraisons
Compter, gérer, exploiter (avec #@Matthieu_Amiech )
https://floraisons.blog/compter-gerer-exploiter/
( repostée ici https://liens.vincent-bonnefille.fr/?qw80EA )
@Félix_Tréguer est aussi l'auteur de
" L'utopie déchue :
une contre-histoire d'internet XVe-XXIe siècle "
--> https://bib.vincent-bonnefille.fr/book/278
Voilà comment commence l'article de Félix :
" Dans la généalogie politique de l’informatique et plus encore dans l’historiographie dominante d’Internet, les oppositions néo-luddites sont largement négligées.
Parmi les acteurs ayant contribué d’une manière ou d’une autre à façonner ces technologies et les discours à leur endroit avant les années #1990 , on évoque souvent les scientifiques humanistes de l’après-guerre et les hippies technophiles des années #1960 (voir par exemple les travaux de #@Fred_Turner ). Ensemble, ils ont contribué à extirper l’ordinateur des grandes bureaucraties en promouvant des machines plus petites, conçues comme des outils de libération individuelle, avec toutes les impensées qui furent les leurs (et les nôtres devrait-on dire, puisque leurs espoirs et utopies ont aussi largement influencé les discours dominants à l’endroit d’Internet…). Dans l’histoire du droit à la protection des données personnelles, on aborde aussi parfois les informaticiens, chercheurs ou juristes qui, dès les années #1960 , ont alerté l’opinion et les législateurs quant aux risques de ces technologies pour la vie privée.
Dans cette littérature, les oppositions plus fondamentalement technocritiques qui agitent la Nouvelle Gauche à partir des années #1960 , et pour lesquelles l’ordinateur constitue une machine par essence technocratique et guerrière, apparaissent souvent comme une simple toile de fond. On s’intéresse en réalité assez peu à ces acteurs, à leurs discours ou à leurs pratiques d’opposition à l’informatique.
Des travaux récents ont commencé à corriger ces lacunes historiographiques, principalement aux États-Unis. L’anthropologue #@Gabriella_Coleman a par exemple rappelé (pdf titre: Coleman-Phreaks-Hackers-Trolls <- The Social Reader part8 (bib) ) la filiation entre les hackers des années #1980 aux États-Unis et des groupes radicaux inspirés par l’action directe non-violente, comme les Yippies. Plus récemment encore, dans Surveillance Valley (2018), le journaliste #@Yasha_Levine a mis la main sur des archives oubliées documentant l’opposition d’organisations militantes comme les Students for Democratic Society (SDS) à l’ #ARPANET , au tournant des années #1960 . L’auteur raconte comment l’ARPANET, qui fut le premier réseau à commutation par paquets et est généralement présenté comme l’ancêtre d’Internet, fut dénoncé lors de manifestations étudiantes pour ses liens avec le complexe militaro-industriel, tout en étant également impliqué dans des scandales liés à la surveillance des mouvements sociaux par les services secrets américains.
@Yasha_Levine Surveillance Valley : The Secret Military History of the Internet
Une histoire oubliée… "
. . .
Un texte qui rappelle comment raconter l'ambiguïté hippie vàv des tech ( #@Fred_Turner pour ne citer que lui ) participe au récit émancipateur qu'on leur acolle ... mais surtout les mises sous silences des mouvements contestataires .
Via : ( de nombreuses ressources, pistes luddites )