Pashword - Hashed Password Generator. Free and Open Source WebApp to generate passwords you don't need to remember. Pashword generates unique strong passwords for all your accounts using just a single key.
https://github.com/pashword/pashword
#hash and Sait, Dictinoaries, Bruteforce...
How difficulté to find a great.good password ?
https://invidious.fdn.fr/watch?v=7U-RbOKanYs
Avantages de #dn_IPFS et #NFT_blc !
Comment catégoriser tel protocole / vs / tel usage ?
{ je me rends compte, toujours plus, que "dn_" n'a aucun sens, "darknet", surtout ici, je devrais changer le tag _dnIPFS en IPFS_blc }
Je reprenais ma bulle précédente en remarquant en PS (post-scriptum) le lien fait dans les médias crypto-enthousiastes entre...
#dn_IPFS et #NFT_blc !
. . .
et par filiation FileCoin
IPNS :: http://filecoin.io.ipns.localhost:8989
(8989 étant le port que j'e dédis sur {cette} machine)
. . .
L'objectif, en combinant l'approche décentralisée/_bittorentlike de IPFS et NFT : en accroître.garantir la longévité de ces objets.
Mettre un prix exorbitant à un contenu numérique accessible sous identification c'est bien beau, encore faut il qu'il résiste, se maintienne dans le temps !
Ce que je comprends de cette micro recherche c'est que :
- que les marchés / brokers ont besoin de garantir une durée de vie
- qu'une industrie propose des solutions autour de ce nouveau problème de confiance.
- qu'aussi bien les entreprises de création culturelle veulent nous en vendre, créer des objets uniques qui, par cette rareté justifient leur valuation.
- que la décentralisé et distribution peut garantir une "robustesse" / sécurité adaptée à ce cas de figure dans le quel, plutôt que de pointer vers des serveurs localisés (avec un fichier unique dedans), IPFS ajoute une couche de sécurisation embarquée, facile à déployer (dont d'in.falsifiabilité par #hashing )
- Et aussi que IPFS c'est du #P2P avec une meilleure chouche d'adressage et versioning/hash.
Sources / critiques // Bittorrent
Article #français retraçat bien les enjeux_avantages d'IPFS
https://cryptoast.fr/interplanetary-file-system-ipfs-reseau-partage-fichiers-web-3/
- Principes de décentralisation
- Pinata pour de l'IPFS
hosting
sans installation ( Service #not-free ) - IPFS Un Internet plus robuste (moins de risques de pertes, exemple d'OVH) / difficile à censurer / plus+ rapide
- qui note le caractère non incitatif d'IPFS (à la participation des pairs)
-
"Le projet Filecoin (FIL) est au coeur du protocole IPFS"
. . . En commentaire :
Comme commentaire critique / l’engouement du web 3.0 // Bittorent existant' Bravo ! Ils ont réinventer
bittorrent
... Au bout d'un moment, ça serait bon de faire un job journalistique plutôt que de retranscrire bêtement les propos exaltés d'un énième gus qui à réinventer la roue. Des solutions de fichiers décentralisés, on sait faire depuis longtemps. Et ce ne sont certainement pas les serveurs dont le rôle est juste de fournir l'accès à des fichiers qui sont victimes de DoS.
Pour faire un web "3.0", il faut a minima un serveur capable de générer du code dynamique, de traiter des requêtes, de s'interfacer avec une base de données ect... Un partage de fichier décentraliser... c'est du rien !!! '. . .
Sur cet autre article de #2022 on peut lire (vàv Bittorent) :
( résumé du fonctionnement d'IPFS + parallèle avec Bittorent )
" When you put a file onto IPFS you create its content ID, or CID, which is a complicated set of hashes based on where the file is located and related metadata. That file can then stay hosted on your node alone, or it can be distributed among many nodes. ( <- This is where it is like BitTorrent ). Just because a file is available “on BitTorrent” doesn’t mean there are any seeders or that it’s there forever. IPFS is like this. The address/CID is permanent, to a degree as it gets passed around the DHT, but the underlying asset, or file, that the IPFS address points to can be lost as easily as any file on any random web server. "
[...]" Honestly, IPFS might as well be a
.torrent
file that points to a reliable IP address hosting the DHT table for the files you want to host. It’s a little bit more elegant than that, but it really does boil down to the same thing. "
Un peu plus haut (sur la croyance en le dé.centralité plus robuste) :
" However, using IPFS broadly obfuscates the real permanence of NFT-secured assets. It’s an open secret that many NFT projects simply use random web file storage to host their images, and that those could go away at any time. The solution for “savvy” NFTs buyers is to only consider projects where the “art” is hosted on IPFS. "
Passage qui semble pointer en critique le paradoxe d'utiliser la sécurisation des NFT avec la décentralité d'hôtes qui, aussi nombreux soient-ils peuvent "tomber"/"vanish"/disparaître
Au début, pour cette {bulle} je voulais partager :
Deploy your website on IPFS: Why and How
https://tarunbatra.com/blog/decentralization/Deploy-your-website-on-IPFS-Why-and-How/
( dont la cover.illustration est ici utilisée, crédit : Photo by Clint Adair on Unsplash )
IPFS quels problèmes résout.pose ce protocole ?
Un #dns avec une forte #d_centralisation (comme l'explique IPFS.io)
Une distribution.diffusion interplanétaire, rien que ça !
Sur wiki on peut lire
"InterPlanetary File System, est un protocole pair à pair de distribution de contenu adressable par hypermédia, conçu à l'origine par #@Juan_Benet . L'implémentation principale d'IPFS est un logiciel libre dirigée par l'Interplanetary Networks"
Un web distribué, résistant aux censures/pertes/coupures, #p2p ...
Vidéo en anglais, promotionnée sur le site d'IPFS
IPFS: the future of data storage
( version en #français, {le lien de cette bulle} )
autres captures écrans / slides tirées de la vidéo + bkp de la vidéo
. . .
- Une autre vidéo par #@PafLeGeek
(web 3.0?) ( très complète en #français )
( répond à pas mal de mes questions sur la persistance des fichiers (pin/épinglés) ) https://invidious.fdn.fr/watch?v=wvIKUEo6REY
Des fichiers distribués à vie : la censure.droitàloubli sont KO
Démo
Ma landingpage de test_demo (v 0.2)
https://ipfs.io/ipfs/QmX4GZ9Z2FDxBrYRr8cMNoVXpoPVPEjr9y4bdEAGU64a3p
Une image
https://ipfs.io/ipfs/QmeMgMtf4oZWKB97prfVDop4FUS6sKnYHMJZJQeziUPRSE?filename=00.png
- Pour ajouter un fichier (là un fichier statique) on utilise une commande
add
(ou l'UI.web à l'ergonomique plutôt soignée), un peu comme #git !? - Le tout est plutôt soigné...
on peut assez facillement uploader des fichiers et les partager...
(pour les fichiers modifiés -nouveau hash.ID- c'est un poil plus compliqué, mais guère) - on trouve quelques goodies pour nos navigateurs :
https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/ipfs-companion/
https://chrome.google.com/webstore/detail/ipfs-companion/nibjojkomfdiaoajekhjakgkdhaomnch/
InterPlanetaryWiki : la porte des étoiles
Le miroir
de #wiki est un exemple de ce que peut ce réseau #P2P contre la #censure
https://github.com/ipfs/distributed-wikipedia-mirror
https://blog.ipfs.io/24-uncensorable-wikipedia/
Par ce cas pratique on comprend aussi que les gateways
sont cruciaux comme intermédiaires vers les contenus... ces "ponts"."portes d'entrées" servent de mandataires.proxy vers le contenu qui, à son ajout (add
) reçoit un CID
, un identifiant unique produit par #hash (comme souvent) : une adresse, un permalien
unique.
Les gateways sont des instances par lesquelles on accède aux contenus IPFS.
Il y en a 'plein' et moi je peux facilement en faire tourner un en fond sur mon ordi !
https://ipfs.github.io/public-gateway-checker/
Le cloud est mort, vive les rois ( ode 3.0 )
... je vois pas mal de points communs avec FileCoin
... d'ailleurs IPFS en fait mention dans son programme de cours https://proto.school
... Le haut niveau d'ingouvernabilité d'IPFS repose sur la décentralité.distribuée
... comment faire dès lors que la source est perdue dans le bruit de la foule ?
... qu'elle est une #hydre un #swarm bien plutôt qu'un point unique sur la carte ?
... on retrouve ici le volontariat participatif du #bittorent_p2p une masse-critique de seeder
... cette foule qui ensemble décide de la survivance des données qu'elle produit
. IPFS répond vraisemblablement à un désir de survivance des savoirs
. un projet qui atteint avec radicalité les promesses d'un Internet libre et partagé
. Le projet d'un index bilatéral d'une bibliothèque d'un cloud domestique P3P
Si l’intérêt pour un objet est partagée...
chaque pair décide ce qu'il sauve.garde / maintient sur son bout de disque dur #cloud .
Et il y a fort à parier qu'un document top.secret utile au plus grand nombre soit majoritairement re.copié comme c'est le cas avec l'économie du seeding
en Bittorent.
Enfin un CID (lien vers un objet peut être partagé de personne à personne, garder sa confidentialité (à vérifier en pratique).
Hydre noire ?
Ce n'est pas à proprement parlé un "darknet" dans la bouche de ceux.celles qui usent de cette formule.mot magique... mais bien plus une autre façon de communément faire cloud
. À l'instar des réseaux #f2f (entre soi, entre ami.e.s), il manque à IPFS une couche supérieure d'anonymisation (pour être "dark").
Ce qu'il a de "dark" c'est la complexité technique qu'il ajoute pour rendre difficile la censure. Il est disruptif dans la façon qu'il automatise à grande échelle la distribution par le multiple de fichiers dont on cherche à protéger l'origine unique autant que l'authenticité.
Sur ce tout dernier point sécuritaire (falsifiabilité), j'évoquais FileCoin et les #blockchaines_blc soutenue par la création d'objets uniques, identifiés par #hashing ... IPFS promet bien d'une certaine façon un Internet solide, résistant à la perte, aux coupures et censures. Il protège moins les sources qui transmettent que le contenu distribué par l'essaim ( #swarm ).
Censure : clore des formes, finir des objets
( ça vaut mieux non ? )
Oui, la durée de vie moyenne d'un site est de 3ans(!)
et l'on voudrait que le 404 soit un souvenir oublié.
Les données ont leur finitude (se sont des corps corruptibles, que le temps délit...)
... mais est es trop ou bien assez ?
Que fait on des déchets enfouis pour toujours ?
N'y a t-il pas un certain bienfait à l'oubli ?
Oui mais pour qui ?
Certains savoirs dérangent
mais doivent pouvoir survivre à la mémoire
( pour le bien collectif )
On peut se dire que si "l'information veut être libre" alors c'est une bonne chose...
Qu'un tel réseau va servir aux journalistes chercheur.euses de vérités "transparentistes"
Mais on peut aussi se demander...
: comment mettre à jour / défaire / arrêter un feu de forêt ?
: comment empêcher que la rumeur ne s’étende ? Le fichier d'exister ?
. . comme je le comprenais en faisant mes premiers essais ici
. . et ce que #@PafLeGeek confirme ici l'on ne peut vraiment être sûr que ce qui est alors distribué sera un un jour tout à fait disparu du maillage interplanétaire...
Cela dit si je comprend bien, avec un identifiant et et le #dns d'IPNF :
ipns y a moyen de mettre à jour un contenu, d'en changer les métas :
https://docs.ipfs.io/concepts/ipns/#example-ipns-setup-with-cli
Un CID désigne un objet en non plus sa localisation
Le #dns est inversé . il pointe vers un objet plutôt qu'une localisation unique
On part du principe que le fichier demandé existe(peut-être d'avantage qu'avec les hyperliens.URI traditionnels)
On ne se demande plus "où est l'objet" mais quel objet .
C'est une autre symétrie.perspective.
D'un seul coup je repense à l'abstraction informatique, la perte d'une spatialité commune...
Au concept d'Anoptikon de #@Olivier_Auber (https://bib.vincent-bonnefille.fr/book/61), la dissolution ou renversement de l'idée même d'espace...
La liberté a besoin d'une justice, d'un chef
La perte de l'adresse située, unique, déroute nos modalités d'interpellation politique (éminemment dialogique, conflictuelle).
Qu’à devient-il avec la perte de responsabilité des sources ?
Leur délocalisation, leur incommunicabilité ou mutisme ?
Quand d'une façon ou d'une autre elles s'extraient.séparent du régime des justiciables ?
( qui nous rendent tous.toutes pairs, semblables face à la loi à priori équitable, dispensée avec légitimité et bon sens... sans intérêts privés ou de classe... )
Celui.celle.ce qui se sépare du régime social de la justice (qui vise à décrire et limiter les usages de la liberté qui n'est pas en soi une bonne chose),.. ce qui se met hors d'atteinte de cette délibération suscite la méfiance de ses pairs qui, eux, s'y soumettent (par naissance et obligation) .
On peut aussi, légitimement réclamer une auto-souveraineté qui ne reconnaît pas celle d'un #État_gouvernement ou d'une Justice... et désobéir sciemment, hors de son régime...
. . .
En répondant si bien au besoin de survivance infalsifiable d'un contenu, les réseaux de la censure impossible posent celle de l'illimité ingouvernable.
L'on aspire à la liberté retrouvée que rien n'arrête mais l'on n'y jamais tout à fait préparé.e
à l’illimité d'un geste sans fin qui échappe à celui.celle qui l'a initiéCette idée d'une irréversibilité technique (sans backdoor ou interrupteur)
produit souvent un doute à l'endroit des "darknets"
chez moi ici, un certain vertige et angoissecelle de perdre le contrôle, le gouvernail...
.
D'une certaine façon il est aussi terrifiant de tout perdre.oublier
que de ne plus pouvoir se séparer d'un objet gluantune fois un encore un protocole dont les réponses techniques sont problématiques
car ils déjouent nos habitudes relationnelles de communication
à commencer par la distribution du pouvoir médiatique aujourd'hui centralisé
. Nous sommes tendu.e.s entre le désir de dire.exister et celui de se taire
. Celui d’obéir et celui de gouverner.commander
. Ne voulant, pour ma part, ni être maître ni être esclave
. Une ambivalence qui a un coup et qui reste idéologique
(1. à gauche/au-dessus) Fête de l'Humanité 2013 © Jean Paul Romani
(2.) méme d'auto-dérision tout droit venu du cyber 90's
Conclusion impossible
( sans cas concret.focale ) ( envie d'une résolution dans laquelle tout est possible )
( or la radicalité semble exiger des sacrifices )
( Et du coup mon cœur balance entre :
la fascination technique d'un protocole qui résout un large écueil informatique et les conséquences incertaines, problématiques que cette nouvelle gouvernementalité invente ... et que la pratique expérimentale pourra vérifier )
( Chaque outil.protocole vient avec ses spécificités, ses défauts, ses incomplétudes )
( Aucun n'est parfait et adapté à l'ensemble des situations )
( Chaque outil demande un enseignement à ses principes et sa philosophie )
( aussi les interrupteurs / backdoor sont tentant pour atténuer la radicalité technique )
( mais en réduise souvent le geste pertinent à néant )
Outro
Autre remarque, une fois que ces techniques sont mise à jour, que leurs effets sont vérifiés (et qu'elles se rependent par l'usage car répondant à un marché de l'information) : dès qu'elles font la preuve de leur efficacité et pertinence... l'on peut bien vouloir les interdire d'exister la plupart subsistent, confrontant le choix politique à des limites techniques.
Un choix politique qui, entre autres, est instrumentalisé en la Justice et autres codes, se confronte au pragmatisme technique (limite à l'utopie).
Un comportement / protocole / objet problématique on va vouloir l'interdire ou en limiter l'usage. On voudra le hacker, le restreindre ou le rendre impopulaire ... il n'en restera pas moins que l'outil est là, maintenu, renforcé.modifié en fonctions des attaques subies.
Un guerre technique entre des communautés humaines dont les projets divergent (autant que les inquiétudes).
En outre, une fois l'outil.moyen à portée de main, il y a une une certaine tentation à l'utiliser : l'Humain fait dès lors qu'il s'en sait capable, la technique parait toujours un endroit de dépassement de sa condition, un progrès "sans précédent". S'il peut aller sur la lune il ira sur la lune, faire l'expérience de sa capacité affirmée, dépassée par l'effort.
( J’amorce ici une critique du solutionnisme technique / alt.numérisme )
Résumé et résolution de ma question (par la technique)
( vàv du risque d'une censure impossible )
Avec l'in.censure et l'instantanée distribution.propagation du fichier morcelé... comment, à posteriori, comment le supprimer.retirer ? Quelle marche à suivre pour le mettre à jour (ce qui peut s’apparenter à de la corruption) ? Quel consensus ?
La robustesse et étendue d'un réseau est indispensable pour sa résilience...
Mais que faire des organismes persistant métastatiques ?
Sur le site.doc de IPFS on nous dit bien de ne pas partager d'info. confidentielle.
La démarche est éminemment publique !
Il y a une différence entre fichiers "épinglés"="pin"==prioritaires.persistants (et les autres)
On peut retirer des fichiers épinglés :
ipfs pin ls --type recursive | cut -d' ' -f1 | xargs -n1 ipfs pin rm
source, sur sa propre machine... reste à savoir comment l'information se propage (et est acceptée comme contre.ordre)
: sans tête ("capitole"/headless) qui décide.arrête une décision légitime ?
. . .
Docs : un.pin :
https://docs.ipfs.io/how-to/pin-files/
" You will notice it still returns the correct response, this is because while <foo hash> was removed from your local storage, the data still exists over IPFS. "
Sources : comment mettre fin à la cascade ?
- Delegated content erasure in IPFS #2020
- HN : One of the biggest challenges with IPFS in my mind is the lack of a story around how to delete content
- Sur l'illégalité l'intégration d'une
whitelist
/ DRM (== backdoor ?) : Reddit. . . - UE : responsabilité de l'hôte et impossibilité tech. post
Tiavor ::
IPFS is also affected by the new Article 13 of the EU Copyright Directive, means that everyone has to filter everything they host.
NoSpaX ::
Article 13 is impossible to realise. How would that work? What program will they use? As soon a "filter server" is online, it will get shot down by DDoS. IPFS is nigh uncensorable. There is always that one node, where nothing is blocked. And there is also the swarm.key. Just get one of the many warez sites, bootstrap to them, happy downloading. Add a public gateway on top: Nothing changed. Just the way it's distributed. Also: VPN.
ISPs tried to suppress BitTorrent-Connections and they failed to a certain extend, as soon Torrents adapted.
Sources, installation, tutos
((( Linux.Rasp.deb le plus complet.aidant que j'ai trouvé, dont syst.auto-start )))
(( un tuto.détaillé (sur Linux.Rasp Github) / (sur Mac : Medium) ))
. . .
-
voir aussi : Why we need the distributed web #2018
( https://www.ctrl.blog/entry/the-dweb.html ) -
en #français complet, des liens avec #git / Bittorent...
( https://lucas.bourneuf.net/blog/ipfs.html ) -
un #tuto pour héberger un site avec adresse (ipns) #todo
( https://medium.com/coinmonks/how-to-add-site-to-ipfs-and-ipns-f121b4cfc8ee ) -
un article autre en #français
https://cryptoast.fr/interplanetary-file-system-ipfs-reseau-partage-fichiers-web-3/ ) -
un article sur le fonctionnement :
https://medium.com/0xcode/using-ipfs-for-distributed-file-storage-systems-61226e07a6f -
des usages.apps.exemples :
https://docs.ipfs.io/concepts/usage-ideas-examples/ )
( dont : https://github.com/c-base/ipfs-deaddrop ; )
PS : Je note un certain engouement autour d'IPFS + NFT sur les internets... peut-être parce que les deux cherchent à créer une autre forme de propriété basées sur du hashing ? Sauf qu'NFT est un hoax
, une arnaque.bulle... dans son usage artistique.
L'industrie culturelle de masse a, dans cette modalité de certification qui désigne un objet (identifié comme unique et auquel on peut accoler un acces restreint), l'espoir de créer une nouvelle esthétique de la valeur propriétaire sur des objets qu'elle ne pouvait tout à fait cerner (objectifier et donc vendre). Un nouveau DRM
ou enclosure...
Or, il semble que l'achat et diffusion d'NFT se solde par l’autorisation d'accès à une URL méta-daté, situé. IPFS permettrait de renforcer la joignabilité et robustesse (durée de vie) de ces liens...
R : Salt + hashing for the best !
Hashing Algorithms and Security: http://youtu.be/b4b8ktEV4Bg
Security of Data on Disk: http://youtu.be/4SSSMi4X_mA