2019
@Becca_Abbe
In the early 1970s, a group of technocrats and members of the business elite formed an international organization called the Club of Rome. Together, they commissioned a team of M.I.T. researchers to run a computer analysis of Earth’s finite resources against the exponential growth of human activity.
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WELL ("Whole Earth 'Lectronic Link”)
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Low_Tech supports the idea that a website can serve a small community connected through common interests. The Internet's global accessibility has lead us to think on a massive scale, but a community that lacks physical proximity can still be “local” in mindset.
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A website can be a testing ground, a micro-utopia, or a safe haven, offering relief from the commodified web.
Via LOW-TECH MAGAZINE..
2016 by @Silvio_Lorusso
https://vimeo.com/148146455
[ Video + transcript of the talk I gave at the ‘Artistic Interventions in Finance’ panel during @MoneyLab : Economies of Dissent 2015 ]
"Today, I’m gonna talk about a project called //Kickended and the path that my research took from there. Made in 2014 , //Kickended is a Kickstarter clone that only includes campaigns nobody wanted to pledge for. Campaigns that raised exactly zero dollars.
[...]
Kickended itself is the result of a failure — if you want to call it like that — since I originally submitted the idea to Rhizome’s Net Art Microgrants competition. Kickended made it to the final round but, unfortunately, it didn’t go through."
Fake It Till You Make It :
https://youtu.be/0yKig9gGwko
https://liens.vincent-bonnefille.fr/?OXX4gg
ads_tracking
on retrouve ce projet dans cette compilation d’œuvres web.art @rhizome 2014
https://rhizome.org/editorial/2014/sep/11/announcing-microgrant-juror-finalists/
Via Fake It Till You Make It
Exhibition at Aksioma,
Installation, 2019
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Hyperemployment, curated by //#·Domenico_Quaranta
“Labour – one of the defining aspects of our capitalistic societies – is also one of the sides of contemporary life that has been more affected by technological innovations and by the advent of post-Fordism. Although increasing automation has actually caused many forms of human labour to disappear, it has not – as many thinkers have predicted – brought an end to labour. Instead, it has led to – together with other innovations, such as the rise of device culture and social networks – its fragmentation into plenty of micro labours and its infiltration into every moment of life.
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Thématique, développement (article)
https://networkcultures.org/entreprecariat/shouldnt-you-be-working/ <3
Slow up your computer hack
http://slowhotcomputer.com
Gagner du temps ( sketch Jerry Seinfeld ) fun
https://youtu.be/TbP4Kt6359E
(( via @Le_Média : 2021 , ANNÉE DE LA CENSURE ?
(( Trump censuré de twitter facebook
(( l’interopérabilité vers des services décentralisés
(( https://www.youtube.com/watch?v=3EofN9fnW6E
Article de la @La_Quadrature_du_Net, 2019
"Le protocole permet l’interopérabilité. L’interopérabilité est la capacité à communiquer de deux logiciels différents, issus d’équipes de développement différentes. Si une université bolivienne peut échanger avec une entreprise indienne, c’est parce que toutes les deux utilisent des protocoles communs.
L’Internet est un réseau à « permission facultative ». Contrairement aux anciennes tentatives de réseaux informatiques qui étaient contrôlés par les opérateurs téléphoniques, et qui décidaient de quels protocoles et quelles applications tourneraient sur leurs réseaux, sur l’Internet, vous pouvez inventer votre propre protocole [...]
Si chaque développeur ou développeuse d’applications invente son propre protocole, il n’y aura plus de communication ou, plus précisément, il n’y aura plus d’interopérabilité. Chaque utilisatrice et chaque utilisateur ne pourra plus communiquer qu’avec les gens ayant choisi le même logiciel.
[...]
Certains services sur l’Internet bénéficient d’une bonne interopérabilité, le courrier électronique, par exemple [#email]. D’autres sont au contraire composés d’un ensemble de silos fermés, ne communiquant pas entre eux. C’est par exemple le cas des messageries instantanées. [...] Alors que l’Internet était conçu pour faciliter la communication, ces silos enferment au contraire leurs utilisateurs et utilisatrices dans un espace clos.
Un exemple d’un succès récent en termes d’adoption d’un nouveau protocole est donné par le Fédivers . Ce terme, contraction de « fédération » et « univers » [...] regroupe tous les serveurs qui échangent entre eux par le protocole ActvityPub [qui] permet d’échanger des messages très divers.
[Les protocoles ne sont pas tous régis par des spécifications strictes]. Ainsi le protocole BitTorrent, très utilisé pour l’échange de fichiers, et pour lequel il existe une très bonne interopérabilité, avec de nombreux logiciels, n’a pas fait l’objet d’une spécification complète.
Parfois, la spécification est adoptée formellement par un organisme dont le rôle est de développer et d’approuver des spécifications. C’est ce qu’on nomme la normalisation. Une spécification ainsi approuvée est une norme. L’intérêt d’une norme par rapport à une spécification ordinaire est qu’elle reflète a priori un consensus assez large d’une partie des acteurs, ce n’est plus un acte unilatéral.
L’une des organisations de normalisation ouverte les plus connues est l’IETF (Internet Engineering Task Force, qui produit notamment la majorité des RFC). L’IETF a développé et gère la norme décrivant le protocole HTTP, le premier cité dans cet article. Mais d’autres organisations de normalisation existent comme le W3C (World-Wide Web Consortium) qui est notamment responsable de la norme ActivityPub .
Le courrier électronique repose, contrairement à la messagerie instantanée, sur des normes ouvertes, mais on peut respecter ces normes tout en ajoutant des règles. Ce bras de fer vise à empêcher les serveurs indépendants de communiquer avec Gmail .
Si on laisse beaucoup de choix aux programmeuses et programmeurs qui créeront les logiciels, il y a des risques de casser l’interopérabilité, suite à des choix trop différents. Mais si on contraint ces programmeuses et programmeurs, en imposant des règles très précises pour tous les détails, on empêche les logiciels d’évoluer en réponse aux changements de l’Internet ou des usages. La normalisation reste donc un art difficile, pour lequel on n’a pas de méthode parfaite."