Annonce de la sortie du livre @Pacôme_Thiellement :" Infernet " ( #<3 #@Infernet )
https://www.parislibrairies.fr/livre/9782380353815-infernet-pacome-thiellement/
La question de l'exclusion.inclusion des monstres est cruciale dans ma réflexion sur les infernets. Comment se raconte le droit légitime d'exister (ou ne pas naître.apparaitre ) ?
Quelles sont les modalités de résistance des communautés censurées.interdites ?
Comment s'organise la reconnaissance d'un soi assiégé ?
Quel sur.vivre minoritaire ?
@Blast : 29 janv. #2023
https://www.youtube.com/watch?v=hmylgWaFbk4
" La règle du Norm Show, c’est l’humiliation, la sélection et l’exclusion.
Celle du Freak Show, l’humilité.
Une humilité qui naît de la conscience de la cruauté de l’existence, mais aussi de la beauté qui peut naître des relations humaines au sein de celle-ci. La vingtaine de Freaks montrés dans le film de #@Tod_Browning sont essentiellement des hommes et des femmes réduits ou mutilés. Paradoxe de la part d’un quasi-géant, Freaks célèbre la puissance de ce qui est petit et la force de ce qui est faible.
La constante du Norm Show, c’est la réaction à l’actualité. C’est une soumission implicite à une lecture chronologique du Temps. Une vision progressiste ou réactionnaire, mais qui, dans les deux cas, nous place toujours dans un entre-deux restreint ; ce moment intermédiaire, hériter d’une histoire récente, meilleure ou moins bien, et qui se projette dans un futur lamentable ou radieux.
La constante du cirque, c’est l’anachronisme. C’est un instant qui échappe au Temps en faisant se mêler explicitement le passé le plus archaïque et l’utopie la plus folle, le tout dans un présent circulaire où tout a lieu à la fois. Le Norm Show a beau s’autoriser d’une vision du monde oi-disant pérenne, il est toujours dans la crainte de la ringardise. Le Freak Show, lui, n’est pas dans le Temps.
Freaks, c’est là d’où nous venons. Et c’est là où nous allons. C’est la disparition de Hollywood comme religion et la réapparition de Carnaval. Et les indices de son retour sont aujourd’hui visibles partout.
Des « Freaks » de Los Angeles aux supposés « Wokistes », des Hippies aux Hipsters, tous les mouvements de la jeunesse des cinquante dernières années portent en eux la nostalgie de cette existence humble et colorée, chaotique et vivante, faite de métamorphoses et de relations libres, qui fut notre première existence. Elle l’est encore, et elle le sera toujours.
Le visage qu’ils lui font porter peut parfois apparaître comme une simplification, une réduction ou une caricature. Incarcérés aujourd’hui dans les prisons psychiques des réseaux sociaux et leur encouragement tacite à l’obsession de la notoriété, ces mouvements sont, trop souvent, traversés par des appétits de réussite individuelle. Voire par la tentation, pour chacun, de s’ériger en juge des autres – de devenir dur et raide.
Peu importe. Ils sont avant tout porteurs d’une promesse. La promesse que nous ne supporterons pas éternellement ce monde sacrifié à une idée fausse de l’humanité –« normalisée », stéréotypée, hiérarchisée, c’est-à-dire faite pour la guerre de chacun contre tous et de tous contre chacun.
Et, à chaque fois qu’on regarde Freaks, ce qu’on ressent, individuellement comme collectivement, c’est à la fois la nostalgie de l’Age d’or et le désir d’un monde où l’humanité serait unie à travers ses différences. La nostalgie d’un monde où la blessure de chacun était portée par tous et le désir d’un monde où la joie de chacun serait portée par tous.
Un jour, nous rirons ensemble de ce monde menteur.
Là où est la fin, là aussi sera le commencement :
Le Norm Show doit disparaître. " [...]
Une exclusion qu'on retrouve et file {ici} à partir de la notion de #Carnaval
associée à l'Utopie /ou/ Uchronie
à un espèce d'espace autre
un à côté :
punitif avec la prison,
le cimetière, le cinéma,
la /Nef des fous/
: une hétérotopie
Pour moi, le Carnaval == #teuf_fête
L'hétérotopie est un concept forgé par Michel Foucault dans une conférence de 1967 intitulée « Des espaces autres ». ( wiki[FR] )
Une anarchie :
on coupe/renverse la tête
elles n'est plus sur les épaules du roi.souverain
mais change de main.
C'est l'img du fou
qui en symbole détrône sans usurper
. fig. du sage malicieux
. de la singerie,
. de la satire qui dit vrai
Vidéo produite en #2010
donne lieu à des projections entant que tel ou à des mises en situation sous la forme d'installations
On peut parler de Cultural Studies ici dans le sens que cet objet intéresse des qualités propres à une cutlure. Les artistes s'emparent des codes-habitus, d'un régime culturel #pop sur la plateforme sociale Chat_Roulette*. Un OVNI aux CGU peu restrictives qui mettent en relation des inconnus par webcam interposées. Un jeu d'exposition de soi à l'Autre se met alors en place, entre dangerosité d'être mis en relation avec le pire, et potentiel d'une rencontre magique.
C'était un peu pour moi le lieu de #chat_conversation qui avait accompli une certaine hyper-socialité d'Internet : être accessible à tous.tes dans une réciprocité heureuse-dangereuse : le hasard du monde et de sa diversité contemporaine...
Les artistes mettent en place un SCAM, une escroquerie, une arnaque, une farce....
Un jeu qui profite de cette disponibilité d'un public volontaire mais pris à son propre jeux.
À vouloir voir du "vrai" en "live" on peut être exposé au pire.
C'est de cette réaction face à l'image d'un suicide que les artistes mettent en scène pour déclencher indignations, rires, indifférences, panique, appel de la police... sans pouvoir sans doute dire plus que l'inconfort face à un lointain indéfini, non localisé géographiquement.
Et il y a sans doute quelque chose de cette auto-exposition dans l'art, celle du regardeur qui accepte implicitement certaines règles, certains droits, certaines limites avec lesquelles jouer, performer, se rencontrer.
Une œuvre qui faisait partie de mon #corpus (et qui est remontée avec la {bulle} précédente)
* ChatRoulette m'a inspiré #chat_chouquette
( pour son aléatoire de confrontation... ) ( on été avant #2017 )
On trouve aujourd'hui des clones de ChatRoulette (pour adultes) dont :
De #@Emmanuel_Van_der_Auwera #2014 (infos)
" A certain amount of clarity is a film made from internet found footage describing the spreading in the community of teenagers of one viral video showing a real murder.… "
Conf
Découvert via after-social-networks (évent. fb) le 24 janvier #2022 en collab' avec #@ArTeC . Joie de retrouver des visages amis, des pensées nourrissantes, voisines... et surtout le souffle des séminaires, cet être ensemble dans le processus de création-exploration :)
@Emmanuel_Van_der_Auwera et #@Jason_Middelton étaient présents pour nous parler de leur activité de chercheurs-foullieurs depuis les tréfonds du web.
Notes_brouillon à chaud
Sujet difficile, celui de ces images maudites qui s'impriment par la terreur dans nos souvenirs. Traumas du web, de ces images qui n'auraient jamais du être rendues publiques.
Un docu. sur les violences,
celles hors écran,
et ces visages qui réagissent
( réact.vidéos )
et le pire à portée de clic
dans ces chambres d'ado exposées...
comme un hack ultime de leur vulnérabilité
Jeu insouciant de regarder jusqu'au bout
cathartique devoir de se surpasser
. . .
it s not an entertainment
it s not a game
it s a chalange
it s for real
. . .
couches de violences
ce pire qu'on ne voit pas
ce lointain, ces guerres
leurs atrocités du passé
leurs survivances du présent
. des visages qui relatent
des enfants qui jouent
jouent à la guerre, au meurtre
et se filment-partagent
simulent.transgressent
Réact-vidéos, cours de récrée à la maison
Du fait des sujets et du support filmique-vidéo qu'ils s'emploient à monter pour faire narration (les deux artistes présents pour parler de leurs pratiques), il est vite question de soi, de ce qui nous touche et de ce qui touche ceux.celles qui s'exposent à ces images terribles. La rencontre du Séminaire en Visio dédouble la mise en abyme des écrans réactants dont l'œuvre de #@Emmanuel_Van_der_Auwera nous plonge.
Des contenus qu'on ne voit pas, mais que l'on découvre par l'intermédiaire du regard de l'autre, regardant aussi vers son écran, aillant ce geste de regardeur comme nous. Un regard attiré par le défi d'une image que l'on sait insurmontable, dangereuse, toxique, traumatisante. Et qui, pour cela, circule, pour ce qu'elle porte d'impossible à regarder, mais que l'Internet a maintenu en vie, accessible malgré tout. C'est donc un regard pris à son propre piège, curieux de se confronter à la limite de sa propre insupportabilité qui nous est donné de voir.
Des ados pour la plupart qui, depuis leur chambre, regardent un écran et se filment le regardant. Des vidéos de réaction à un contenu. Une forme stylistique bien connue sur Youtube et aujourd'hui d'actualité sur Twitch et autres communautés du vivant en train de... C'est donc un regard de l'attirance-répulsion qui se force à voir et essaie souvent trop tard de se rétracter, de prendre ses distances. C'est par les témoignages entrecoupés et les reconstitutions de meurtres et de violence sur des ours en peluche (et autres supports de simulation), entre jeux d'enfants et #serious_game que cette expérience d'un contemporain nous guide.
Comme une archéologie de l'intime, celui de la chambre protégée dont l'intrusion de l'image, celle de la vidéo vue et de notre regard semble étroitement produire l'effet de terreur. À la fois complice et touchant. Incapable que nous sommes dans l'instant de venir en aide à ces visages défaits pour la plupart. Un objet condensé, éprouvant.
Chercher-trouver
Mise en danger d'autrui
Empathie avec le vivant
image virus
Et je suis pris comme d'autres chercheuses.chercheurs à gratter ce qu'il reste entre sacré et déchet. À éprouver la certitude de l'existant qui se retire au regard. À sentir savoir que ce que je cherche est là, quelque part, qu'il faut y croire et ne douter que pour mieux chercher, formuler dans les petites boîtes étroites des moteurs de recherche. Croire, garder, regarder. Faire tourner. Parce que pour qu'ils.elles les voient ces images il a bien fallu qu'elles circulent. Qu'une ou plusieurs personnes les produisent et que d'autres les partagent, exposent en conscience leurs ami.e.s (les trahissent par ce cadeau empoisonnant). La rumeur se transforme en témoignage : l'image du réel-impossible (invisible) fait place à celle du retour d'expérience, subjective, yeux dans nos yeux. L'humain souffrant au milieu de nous. Prolongée par notre propre empathie, la mienne, intime, profonde, de me sentir ému-triste, défait par ce regard horrifié que je laisse impuissant derrière son écran et moi derrière le mien.
Il en sort une certaine dissolution de la spatialité, une contagion de l'être là, de nos vies de récits mêlés. De ces blessures faites par d'autres, mais par soi aussi. Une vidéo-montage qui donne raison à une certaine opérabilité des contenus échangés en ligne, à leur régulation, aux #CGU mais qui, comme toujours dans ces entreprises de #censure , s'avèrent dangereuses et souvent inefficaces (dans l'arrêt de la diffusion). La prévention me semble toujours plus du côté de la pédagogie, de la discussion des parents à leurs enfants, des enseignant.e.s avec leurs publics exposés aux violences en réseau (qu'un #anonymat / perte de source favorise).
Dans ma chambre - story
Il me rappelle les débuts d'une certaine recherche sur les #dn_darknets je ne sais plus trop comment pourquoi mais j'en avais cherché certaines de ces vidéos aux titres annonciateurs. J'avais sans doute à l'époque une activité "pirate" en P2P sur Kazaa ou eMule, en #2000 et #piratage . C'était l'âge d'or de l'Internet libre, mal régulé, disruptif pour les chaînes de production et de distribution vidéoludiques (dont les maisons de disques). Elles perdaient leur pourvoir privateur.
React vidéos , sans portable
Il y avait déjà une économie de l’illicite (il y en a toujours eut, réagissant au marché que provoque symétriquement l'interdit). Déjà une colonisation de nos intimités, une autre injonction à "être en ligne", à prolonger nos moments de présence au monde extra-scolaire. Je n'avais pas d'écran-terminal portable à regarder durant la récréation. Mais, nous avions des forums et chats IRC puis MSM. La viralité des jeux-challanges en ligne ont émergé avec eux, avec la capacité de commenter les activités des autres mais aussi de faire son auto-analyse (b.log, livestreams).
Bizutage
Le bad_buzz ou l'extrémité grégaire des comportements étaient déjà là pour prouver-questionner-performer une certaine organisation des rapports de force permis en société : une certaine capacité à survivre dans la violence jouant sur son implicite, testant la malléabilité du groupe à y adhérer ou non, ses limites, éthiques/morales. Le bizutage en est peut-être la forme la plus convenue, celle d'un jeu outrancier qui s'autorise comme expression d'un ordre dominant. Des activités cathartiques visant à se surpasser, à dépasser la condition d'enfant sur le seuil insupportable de l'indépendance adolescente.
Digg to find the file ( P2P )
Un #www aux CGU moins algorithmé et lisse. Chercher-trouver le fichier interdit, censuré, recoin possible du web, pépite cachée, montait l'adrénaline. Dans mes consommations (comme celles d'aujourd'hui) j'ai une certaine info-obésité. Mais le grand marché ouvert du P2P #bittorent_p2p rendait la curation du web assez différente de celle balisée par les #GAFAM_NATU (Netflix and co). Chercher pouvait demander un clic pour trouver un film #pop , mais des heures pour une rareté #underground . Cette fouille produisait un commerce publicitaire pour les plus grosses plateformes d'index partagé mais, pour beaucoup, la motivation au partage semblait celle du plaisir de consommer-apprécier une matière culturelle à qualité variable. Le débit-quantité était lui donc bien plus élevé, distribué, auto-géré qu'aujourd'hui.
Free space utopie
Une espèce d'âge d'or du partage et de la régulation difficile. Celui d'une certaine autonomie numérique sentant l'anarchie, le communisme, le cyber-espace... celui d'une héterotopie consciente qu'elle ne tiendrait pas. Une époque où la conspiration d'un tout-surveillant était réaliste et se manifestait peu à peu ( lois liberticides, censures, contrôles... puis les révélations du connu avec #@Edward_Snowden ). Je lisais des #TAZ et fanzines en ligne. Je voulais croire à une révolution par l'auto-gestion des individus politiques en réseau. Au confort infini de cette chambre coupée du monde. Je n'en suis pas réellement sorti depuis.
No Fun +
RIP in Peace America - #@Dominic_Gagnon #2009
+
L'œuvre-installation No-Fun #@Eva_Franco_Mattes #2010
https://0100101110101101.org/no-fun/
: {https://liens.vincent-bonnefille.fr/?6EVteg}
==> https://vincent-bonnefille.fr/pj/dn/pdf/#page=35
Le film Julien Donkey-Boy ( infos https://mubi.com/fr/films/julien-donkey-boy ) #1999
Une vidéo qui a surgie je consommais ma dose de YT-invidious quotidienne et l'algo m'a lancé {ça}
Et c'est l'un des sujets de ce #ARG_Alternate_reality_game . J'avais oublié combien j'aime les ARG .
/Alternate reality game/ qui hybrident des formes de récits entre jeu-narration-fiction .
Qui tentent de dédoubler l'activiter de jouer à jouer.
. Et opèrent comme une remise en jeu des mécaniques de jeu.
. . Le récit dans le récit
. . profitant du recul transmédia
Entracte
(réflexion qq jr plus tard avec un autre jeu)
Les jeux de réalité alternative, d'énigme, sont très rependus comme divertissement rependu (/spread/) sur les réseaux sociaux tel /Reddit/ ou /4Chan/. Ces puzzles font appel au pouvoir de mise en commun et partage de l'effort #collectif #crowd_sourcing
L'anonymat et perte des sources sur Internet participent à l'écriture de ces rumeurs organisées. Les Carnets et leur #mythologie du refoulé, du caché, dun contre espionage peuvent alors servire ce type de récits (impliquant des organisations secrètes donnant à voir sans tout révéler).
Ces jeux font appel à la déduction, à l'intelligence et compréhension des participant.es mis au défit et travaillés par des crédulités variables, un désir de croire à la diégese du recit. Entre fiction et #fake il n'y a qu'un pas !
https://invidious.fdn.fr/watch?v=TmoRowBRZvY&continue=0&local=true
Et Petscope alors ?
Le jeu-programme-récit est performé dans son exploration jouée
Le doute hypothético-déductif est essentiel,
: c'est un appel à l'intelligence face à l'énigme
confrontée au geste contraire de ne pas vouloir découvrir
Comment rentre t-on dans le récit ?
Quels mécaniques sont induites ou inconscientes ?
( dans le média emprunté, ici vidéoludique )
Que cachent les dev. du jeu, jusqu'où va le dupe ?
? Et s'il y avait des /backdoors/
? des jeux dans le jeu
? et si cela pouvait mal tourner
( comme tant d'histoires #IRL )
Des récits cryptiques d'initiation
récompensés par la résistance face à l'étrange,
à l'incongru, le déconcertant
qui tord les mécaniques "normales" du game-design
En prolongeant le bug, le #glitch
se joue ici la peur cathartique du jeu dégénéré
dégénératif, caché-dissimulé du grand public
et où, enfin, dans la sphère privée-intime,
derrière les coulisses du "vrai jeu"
pourrait se révéler la nature triste-angoissante de faits divers sordides.
C'est étrange .
Ça fait peur .
C'est narratif .
C'est bien-mal fait .
Tout est permis .
Les ARG donc
Je connaissait pas vraiment
c'est très étrange que cette vidéo ait "popé" comme ça
faudra que je vois ce que je regardait avant
( mais ce petit fait est une anecdote introductive de circonstance )
Les #creepypasta_fiction sont légion sur les tréfonds du "Darknet"
qui en soit donnent le sentiment d'accéder à...
par l'intermédiaire de #proto sous-jacents et malfamés
( qui induisent un sentiment d'initiation-résistance au doute )
Cette vidéo me fait penser à "The Stanley Parable" ou "TheBeginner guide"
. J'en parlais ici Bulle
. . Moi et les narrative "games" = #<3
. . "games" (entre guillemets) par ce que,
. . pour beaucoup de {vrais} joueur.euses ... ceux ne sont pas des {vrais} jeux
. . mais des réflexions méta sur l'activité du jeu...
. . . Un dedans-dehors, un en même ('étude et genre' ?)
. On est plus dans une réflexion sur les processus mêmes de la création entrain d'être jouée ou se créant en se jouant (le focus étant perdu-brouillé entre joueur et joué, et l'idée-sensation de "liberté" d'agir dans le cadre fermé d'un narratif de contraintes pré-établies.
J'avoue, j'y connais rien en #théorie_des_jeux (s'en est ?)
Dans tous ces récits, l'idée d'un objet trouvé ( #found_footage / #abandonware ) d'un objet sorti de son atelier, existant mais n'ayant jamais dû l'être (comme le sont tous les tabous)
Petscop serait sorti en #2004 #2017
Ressources Fanfiction : https://petscop.fandom.com/wiki/Petscop_10
( je cherchais "panicsv" faisant réf. dans {la vidéo} à un état de corruption de #sauvegarde )
L'art, un divertissement immersif ? Comme dans /Petscop/ .
Le moment d'une suspension de crédulité accomplie (où l'on sort du jeu) ( rapport #méta )
. Ou comment se tromper soi-même : être soi-même avec soi-même
. Cette sensation intime d'être soi #auto_self_perso
#fake #deepfake
en voir d'autres, chats, machines...
via https://thephotographersgallery.org.uk/flash-fictions-open-call
"Within the Terms and Conditions’ is a part of a new form of practice of mine that I describe as ‘expanded documentary.’ I’m both an artist and a researcher; I’ve been researching online harassment, digital violence, and human rights in technology since 2013, and I’ve been making art for even longer. I’m interested in the ephemera of people, current events and communities, and this includes digital content. Memes, screen grabs, and ripped YouTube videos may seem like unusual topics for photojournalism and contemporary art, partly because the Web is already such a flat and image-focused space. However, this work lends itself well to expanded documentary; it’s a bit like taking a camera within the different corners of the Internet and documenting what is there. As an artist, I take the web seriously as a place where people live and events unfold because online life is real life, too. The phrase “it’s just the Internet, it’s not real life” minimises that digital harm but it is also a phrase I heard being repeated many times in my research, from online harassment videos to reactionist videos posted by white supremacists after the failed coup in the United States capital on 6 January, #2021 ."
note : parle aussi de TERFs and anti-trans rhetoric (terme ajouté à bulle)
[DEAD] https://www.arte.tv/fr/videos/094472-000-A/thee-wreckers-tetralogy/
Au travers des déambulations d’un groupe de rock virtuel, un cadavre exquis où la musique redonne vie aux fantômes et ravive les souvenirs, les illusions et les sacrifices. En quatre parties, un trip musical résolument rock, convoquant l’esprit des artistes, à la fois jeunes, vieux, morts et éternels.
No place like home [en VOD]
https://vimeo.com/ondemand/theetetralogy
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Article le_Monde Partie 1
https://www.lemonde.fr/podcasts/article/2020/05/29/paul-b-preciado-cette-crise-du-covid-19-a-invente-un-nouveau-corps_6041125_5463015.html
https://play.acast.com/s/histoires-de-gout/-17paulb.preciado-1-2-
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À son sujet, son parcours, sa position dissidente (non binaire), de la révolution qui vient :
https://podcasts-francais.fr/podcast/la-poudre/episode-79-paul-b-preciado
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https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/paul-b-preciado
des réseaux de réseaux ( #pré-internet ),
les moteurs de recherche ...
le tout entre référence et fiction.
---
Selon Wikipédia :
"Le titre est une inside joke utilisée dans le domaine de l'informatique : il fait référence à la ligne de code « Halt and Catch Fire »*, une instruction en langage machine légendaire prétendument en développement chez IBM qui ferait surchauffer les composants jusqu'à ce qu'ils prennent feu."
Bande annonce vo-stfr
https://www.youtube.com/watch?v=rkrJQ1E1Xic
#2014 #2015 #2016 #2017
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IBM Halt Catch Fire #glossaire_notion
https://fr.wikipedia.org/wiki/Halt_and_Catch_Fire #français
https://en.wikipedia.org/wiki/Halt_and_Catch_Fire_(computing)
blague ou pas blague, cette histoire fait #mythologie
#documentation #norme_atypique
--> https://fr.wikipedia.org/wiki/HLT_(instruction)
== Une commande destructive qui s'oppose à celles inoffensives-passives
== (dans le récit, en vrai ça arrête l'usage du processeur, use moins d'énérgie)
pormenade entre #wiki_article
--> https://fr.wikipedia.org/wiki/Instruction_non_document%C3%A9e
--> { https://fr.wikipedia.org/wiki/Instruction_nulle
eng https://en.wikipedia.org/wiki/NOP_(code) #js_css_html #useless_inutile }
--> https://hobbesworld.com/ftp/commandescontroles.php
pour #ftp : NOOP = "Pas d'action, mais une réponse du serveur qui permet de garder la connexion ouverte sans faire de transfert" #error_échec
ou aux #boucles_loop infinies...
"Le Golem (Der Golem : Wie er in die Welt kam) est un film allemand réalisé par Paul Wegener et Carl Boese en 1920. Il raconte l'histoire d'un rabbin qui fabrique un monstre dans l'espoir d'en faire son serviteur mais aussi le sauveur de la communauté juive. Celui-ci finit par se retourner contre son créateur, manquant de le détruire"
"Programmes Python, Ordinateur, Installation en réseau #2017
« Dataghost 2 » est une machine computationnelle introspective, kabbalistique et récursive. Elle étudie inlassablement les traces écrites de son activité interne, les logs, dont l'exégèse donne forme à des séries de commandes compulsives qu'elle exécute frénétiquement. La machine forge des fragments de code en s'inspirant de l'herméneutique de la Kabbale, et plus particulièrement des techniques de la Gematria. Elle opère par associations alpha-numériques, par corrélations et substitutions de signes, pour interpréter ses logs (des daemons, du kernel, du système, du réseau, des autorisations, etc), générant ainsi des milliers de commandes bash qui seront pour la plupart incohérentes et inopérantes.
De temps en temps au hasard et malgré une syntaxe pour le moins hérétique, certaines tâches parviendront à s'exécuter. C'est alors que la dimension performative du langage computationnel prend vie dans cette exécution. La machine réalise alors une sorte de rituel d'invocation d'un Golem numérique. Et le risque est réel pour la machine, car ces différentes actions peuvent à force de cumul, saturer ses capacités de calcul, provoquer un arrêt partiel ou total des fonctions primaires de son architecture logicielle ou encore dépasser le seuil critique de ses limites physiques conduisant à la surchauffe de ses différents composants électroniques, voire à la destruction des couches physiques de l'ordinateur.
Cette activité computationnelle auto-destructrice sera perceptible, les commandes invoquées par la machine sont imprimées continuellement, jusqu'à l'inéluctable arrêt du fonctionnement."
http://www.rybn.org/dataghost/
Autre source d'information ( quelques images d'exposition ) #2016
http://archive.artefact-festival.be/2017/en/program/dataghost-2-2016.html
https://we-make-money-not-art.com/dataghost-2-the-kabbalistic-computational-machine/ <3
@WeMakeArtNotMoney
Cité dans :
Images des mathématiques
http://images.math.cnrs.fr/La-machine-a-demanteler-les-impossibles.html
Article au sujet de :: "Relations aux dérivées partielles" de Mikhaïl Gromov .
" « Le livre est un fantastique trésor d’idées ». Un trésor vraiment ? Sans aucun doute. Un immense trésor qui a enrichi les mathématiques et l’imagination de centaines de savants. Un trésor que nous allons dévoiler aujourd’hui. "
10 épisodes / France / #2012
Production : Lardux Films, Les Films du Nord, CRRAV et Arte
http://www.lardux.net/article671
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série animée apocalyptique autour des personnages-objets-textures du jeux Counter Strike .
un récit tout en lenteurs, montés en puissance, étrangeté
Suzanne Treister
#2009 - #2011
TAROT
https://suzannetreister.net/HEXEN2/HEXEN_2.html
"HEXEN 2.0 looks into histories of scientific research behind government programmes of mass control, investigating parallel histories of countercultural and grass roots movements. HEXEN 2.0 charts, within a framework of post-WWII U.S. governmental and military imperatives, the coming together of scientific and social sciences through the development of cybernetics, the history of the internet, the rise of Web 2.0 and increased intelligence gathering, and implications for the future of new systems of societal manipulation towards a control society."
This channel is back in "good standing", so here's Surveillance Camera Man 1-8. Everything is here except the old-man-eating-fries shot from SCM 7, which is considered copyright infringment by Google and SME for the song playing in the background on the radio.